Mémoriser un jeu de 52 cartes ; Figures avec la fumée de vapoteuse ; Reproductions de fleurs et végétaux en verre

 

Apprendre à mémoriser un jeu de 52 cartes.

 

 
Sebastien Martinez est champion de France de mémorisation, dont l’art de la mémoire qui puise ses origines chez les Grecs de l’antiquité, est basée sur le développement d’images et de cartes mentales, d’élaboration d’une narration mnémotechnique et la mise en relation des informations en tissant des liens entre elles, chaque nouvel élément de connaissance s’emboîte sur ceux déjà intégrés comme des briques, ce qui, contrairement aux idées reçues, avantage les personnes âgées qui ont déjà un acquis important, d’ailleurs il n’existe pas de bonne ou mauvaise mémoire et celle-ci n’est pas limitée, l’entraînement et la pratique de techniques de mémorisation accessibles à tous et à tout âge la fortifie tel un muscle chez les sportifs.
 
– Comment mémoriser un paquet de 52 cartes.
 

 
– Fabien Olicard présente également sur sa chaîne Youtube l’art de mémoriser un jeu de carte entier.
 

 

 

 

Des figures de style avec de la fumée de vapoteuse.

 

 
Simplement équipés de vapoteuses, ces artistes de la vapeur jouent de cette substance légère, fluide et malléable, facilement reproductible et sensible aux perturbations ainsi qu’à la résistance de l’air pour former des petites figures dynamiques appelées « smoke tricks » à la beauté éphémère.
 

 

 

 

 

 
De nombreuses compilations de tours et de figurations surprenantes avec de la fumée de vaporette sont à voir sur cette chaîne Youtube.
 

 

Collection unique de reproductions de fleurs et végétaux entièrement en verre.

 

 
Cette collection unique, conservée à l’Université d’Harvard, de plus de 4 000 modèles de flore représentant plus de 830 espèces végétales, a été créée par les artisans du verre Léopold et Rudolf Blaschka, père et fils de Dresde en Allemagne. Les pièces furent façonnées après que le verre ait été ramolli par la chaleur, d’autres ont été soufflées, pour certains modèles du verre coloré fut utilisé tandis que d’autres furent peints en chauffant des oxydes métalliques sur le verre pour s’y fondre.
Cette série unique dont les pièces ont été fabriquées de 1887 à 1936 fut commandée par un professeur d’Havard qui souhaitait posséder de nombreux spécimen de plantes pour enseigner la botanique, les seuls modèles jusqu’ici était fabriqués à partir de papier-maché ou de cire et ne présentaient pas la qualité translucide et les précisions anatomiques des oeuvres sorties de l’atelier des Blaschka.