Chapeaux étonnants ; Mélanges de couleurs en macro ; Ver parasite dans des escargots ; Peintures à l’huile hallucinantes
Les étonnants chapeaux du designer Philip Treacy.
Philip Treacy un modiste et designer irlandais basé à Londres qui, après des études à l’Ecole Nationale d’Art et Design de Dublin, a orienté sa carrière dans la chapellerie, il a conçu une multitude de chapeaux plus incroyables les uns que les autres pour Alexander McQueen, Givenchy Haute Couture, Karl Lagerfeld chez Chanel et Valentino, Ralph Lauren ainsi que pour des films et des célébrités.
crédit images philiptreacy.co.uk
Vidéo fascinante de mélanges de couleurs filmés en macro.
Du lait, des couleurs acryliques, du savon et de l’huile mélangés dont les réactions sont filmées en gros plan avec une haute définition pour révéler la beauté psychédélique.
Le ver parasite qui transforme les escargots en zombies disco.
L’une des tortures les plus cruelles que l’on puisse infliger à un escargot est de le plonger dans du sel, celui-ci absorbe l’eau de l’animal jusqu’à ce qu’il périsse de déshydratation. Mais la nature a concocté un châtiment encore plus sadique en la personne du Leucochloridium, un ver parasite qui envahit les pédoncules oculaires de l’escargot où il bat en rythme afin d’imiter l’apparence d’une chenille dont se nourrissent les oiseaux, ceux-ci arrachent les yeux de l’escargot et les vers se retrouvent dans les entrailles des volatiles où ils se reproduisent, libérant leurs oeufs qui seront évacués par les selles de l’oiseau, oeufs ingérés par d’autres escargot complétant ainsi ce cycle bizarre de la nature. Le problème est que l’escargot sort le plus souvent la nuit ce qui n’est pas l’idéal pour être repéré par les oiseaux, or ces parasites ont aussi la faculté de prendre possession des centres de commandement de leur hôte transformé en zombie et de l’inciter à sortir de jour.
Peintures à l’huile hallucinantes de Fulvio di Piazza.
Inspiré par le livre Entropy écrit en 1980 par un économiste américain Jeremy Rifkin, dans lequel il aborde des thèmes sociologiques du déclin économique et des ravages de l’environnement liés à l’activité thermodynamique, ouvrage critiqué pour son absence de fondement scientifique, Fulvio Di Piazza crée des peintures dramatiques et oniriques de paysages anthropomorphes avec un niveau extraordinaire de détails. Malgré le pessimisme sous-jacent de ses représentations où une large place est donnée à la puissance tout à la fois destructrice et énergisante du feu, il exprime le sentiment qu’une fois le monde totalement réduit en cendres, il pourra, tel le phénix, renaître et repartir sur de nouvelles bases, la matière étant profondément indestructible et susceptible de prendre de nouvelles formes.
crédit images Fulvio Di Piazza ~ Facebook via jonathanlevinegallery.com
