Circuit des 24 heures du Mans avec vue embarquée ; Collages intrigants ; Galaxies miniaturisées
Tours du circuit des 24 heures du Mans avec vue embarquée.
– Tour du circuit des 24 heures du Mans en vision à 360 degrés.
Une caméra à 360 degrés embarquée et montée sur le toit d’une Nissan GT-R permet de visualiser un tour du circuit des 24 heures du Mans à partir d’angles de vue que même le conducteur ne peut connaître, ce sont les miracles de la technologie. Néanmoins Nissan explique que la vidéo a été accéléré pour simuler des vitesses de course, cette séquence a été enregistrée à la fin d’une session de test avec une limite de vitesse non divulguée, il n’est dès lors pas possible de connaître le degré d’accélération « artificielle » du mouvement, néanmoins l’intérêt de cette vidéo réside moins dans une affaire de chronométrage que dans l’originalité du point de vue depuis la piste qui semble s’ouvrir au devant de la voiture de course.
– Impressionnant tour du circuit du Mans en 1983 à bord d’une Porsche 956 pilotée par Derek Bell, à l’époque la ligne droite des Hunaudières n’étaient pas limitée pas deux chicanes et les voitures pouvaient dépasser les 400 km/h.
– Porsche 919 pilotée par Neel Jani qui réussit le record du tour au Mans en 2015.
– Tour du circuit le plus rapide au volant d’une Toyota en 2017 qui a parcouru les 13 kms en un temps record.
– Une vidéo rare de 1956 avec une caméra fixée sur une Jaguar Type D pilotée par Mike Hawthorn qui fait le tour du circuit en commentant au moyen d’un micro portatif.
Collages intrigants d’Alexis Anne Mackenzie.
Alexis Anne Mackenzie est une artiste américaine originaire du Michigan, basée à San Francisco. Elle a étudié à l’École du Musée des Beaux-Arts de Boston. Son travail, spécialisé dans les collages originaux et décalés, a paru dans de nombreuses publications, notamment le New York Times et elle a exposé à l’international.
Puisant à la fois dans un registre d’images qui relève du domaine de la biologie et des sciences de la vie, et dans les illustrations victoriennes, ses collages mélangent des éléments, des objets disparates, très éloignés les uns des autres, de manière pourtant homogène formant ainsi de nouvelles compositions poétiques et curieuses qui redistribuent et s’affranchit des catégories trop rigides du réel en un surréalisme gracile et rêveur.
crédit images alexisanne.com | via IllustrationWeb
Galaxies miniaturisées et supernovas en modèle réduit.
L’artiste italien Haari Tesla réduit l’immensité du cosmos à un niveau microscopique en utilisant une technique de photographie relativement simple, le tilt-shift ou « effet maquette » dont l’effet consiste à faire ressortir avec netteté le centre de l’image et laisser un flou tout autour donnant l’impression que la photo a été prise à proximité du sujet. Dans cette série d’images, il réussit à transformer les photos en manipulant numériquement la profondeur de champ et le contraste, avec l’ajout d’un gradient, afin de donner aux nébuleuses, galaxies et autres supernova l’apparence de micro organismes ou de miniatures qui peuvent tenir dans la main, l’intérêt de ces images de phénomènes spatiaux gigantesques miniaturisés est avant tout ludique et esthétique.
crédit images Haari Telsa / minimalbaroque.com
