Pierre précieuse la plus chère du monde ; Météo spatiale ; Corne cutanée ; Entreprise japonaise de plus de 1400 ans & plus …
La pierre précieuse la plus chère du monde.
crédit images D.R.
Le Pink Star est un diamant rose de 59,60 carats vendu aux enchères pour 71,2 millions de dollars chez Sotheby’s à Hong Kong en 2017, l’acquéreur est une entreprise de joaillerie basée à Hong Kong Chow Tai Fook Jewellery. Sculpté dans un diamant brut de 132,5 carats en 1999, il aura fallu deux années de découpe et de polissage méticuleux pour lui donner à sa forme ovale actuelle.
Météo spatiale.
La vitesse du vent sur Neptune atteint les 2600 km/h, on trouve des cyclones de 15000 kilomètres de diamètre sur Jupiter, il règne une température de 425 degrés Celsius le jour et -180 degrés la nuit sur Mercure et Vénus connait une température constante de 500 degrés.
Madame Dimanche et sa corne cutanée.
crédit images D.R.
La française Madame Dimanche vécut à Paris au début du 19ème siècle, à l’âge de 76 ans une excroissance s’est mise à pousser à partir du haut de son front en retombant sur son visage, d’une longueur de 24,9 cm elle fut enlevée avec succès par un chirurgien et un modèle en cire de sa tête est exposé au musée Mütter. Cette anomalie anatomique étrange est une protrusion de kératine, protéine constitutive des ongles et des cheveux, tumeur bénigne qui se produit le plus souvent sur des zones du corps couramment exposées au soleil, comme le visage, les mains et les avant-bras et le plus souvent chez des femmes âgées de plus de 50 ans. Le cas Madame Dimanche est exceptionnel mais pas unique, d’autres exemples souvent spectaculaires plus anciens et récents ont été observés et documentés.
À l’intérieur d’un violon.
C’est au moyen d’un appareil photo Sony NEX-6 équipé d’un objectif fisheye Samyang de 8 mm disposé à l’intérieur d’un violon et guidé par télécommande que l’artiste et photographe roumain Adrian Borda a pu prendre ces images fascinantes et hantées au coeur même de l’instrument qui prend la dimension d’une pièce à vivre en clair-obscur baignée d’un jeu de lumière qui tombe en faisceau similaire à celui que l’on peut rencontrer dans un édifice religieux.
crédit images adrianborda.com | Facebook | 500px
Il était une fois à la Maison Blanche.
Scène de la vie (presque) ordinaire du président des Etats-Unis d’Amérique Barack Obama (cf notice wikipédia) à la la Maison Blanche dans un couloir qui mène au bureau ovale (cf notice wikipédia).
Cette images provient du compte Flickr officiel de la Maison Blanche où le service de presse a eu la bonne idée de partager des instantanés parfois insolites au plus près de l’exécutif américain et de projeter le spectateur au coeur même du pouvoir de la première puissance de la planète et de sa résidence emblématique à Washington.
crédit images The White House – Flickr | licence U.S. Government Work
Le 2 mars 1962, le basketteur américain Wilt Chamberlain marque 100 points dans un match de NBA.
crédit images wikimedia | wikimedia
Le 2 mars 1962, Wilt Chamberlain a établi le record de points marqués dans un seul match de NBA en comptabilisant un total de 100 points tout rond en faveur des Philadelphia Warriors lors d’une victoire à domicile 169-147 sur les New York Knicks.
Chamberlain (1936-1999; cf. notice wikipédia pour sa biographie) pivot de 2,16 mètres des Warriors, était un athlète complet et puissant doté d’une force offensive qui lui a permis de réaliser cet exploit inégalé à ce jour (cf. notice wikipédia pour l’histoire détaillée de ce record).
Le docteur russe Leonid Rogozov pratique une auto-appendicectomie lors d’une expédition soviétique en Antarctique en 1961
crédit images Dr. Vladislav Rogozov via doctorross.co.za
Alors qu’il était stationné à la station Novolazarevskaya en Antarctique, le docteur russe Leonid Rogozov, qui participait à la sixième expédition soviétique dans cette région du monde en 1960-1961, a été victime d’une appendicite or il n’y avait pas d’autre médecin à la station, alors Rogozov a dû pratiquer une opération d’appendicectomie sur lui-même le 30 avril 1961, l’opération a duré 2 heures et son assistant était un mécanicien ! Il s’est installé de telle sorte qu’il puisse voir cette partie du corps en utilisant un miroir, et, équipé de plusieurs instruments chirurgicaux, il a effectué une incise de 12 cm à travers laquelle il a pu accéder à l’appendice. Sept jours après l’opération, se portant bien, il finit par enlever les fils qui suturaient la plaie.
Kongo Gumi, une entreprise japonaise qui a perduré pendant plus de 1400 ans.
Un exemple de temple construit par cette entreprise dont on voit sur la droite quelques ouvriers au début du XXème siècle.
crédit images D.R. | Wikimedia
Pendant plus 1400 ans, Kongo Gumi fut une entreprise japonaise prospère impliquée dans la construction de temples bouddhistes spectaculaires et, jusqu’à l’automne 2006, il s’agissait de l’entreprise familiale la plus ancienne du monde en activité, survivant à 14 siècles de bouleversements politiques, de crises économiques et de guerres mondiales, mais elle ne survécut pas à la crise économique du Japon en 2006.
Un manuscrit de trois mètres de long du XVIIe siècle représente 40 générations de la famille Kongo à partir des débuts de l’entreprise en 578 après J.-C., lorsque Shigemitsu Kongo, charpentier qualifié, ainsi que deux autres maîtres artisans originaires de Baekje dans la péninsule coréenne, ont été invités par le Prince Shotoku, un politicien de la période d’Asuka au Japon qui a servi sous Empress Suiko, à construire le premier temple bouddhiste japonais de Shitenno-ji à Osaka, une pagode de cinq étages avec un pavillon principal, une salle de conférences et trois portes d’accès au temple. Le Prince Shotoku, bouddhiste convaincu, a contribué à la propagation du bouddhisme dans tout le Japon.
Cette construction du premier temple bouddhiste du Japon fut un succès et le maître artisan Shigemitsu Kongo fonda la société Kongo Gumi de son nom de famille, dans laquelle les compétences en menuiserie furent transmises au sein de la famille au fil des siècles, ainsi que le contrôle et la propriété de l’entreprise.
S’il n’y avait pas d’héritiers masculins, ou si les héritiers étaient jugés inaptes à diriger l’entreprise familiale, les rênes passaient à un gendre, qui dès lors prenait le nom Kongo ou à une fille. Dans chaque cas, le membre de la famille était soigneusement sélectionné en fonction de ses compétences avant de prendre le contrôle de l’entreprise dont la prospérité fut alimentée par la propagation du bouddhisme, système de croyance qui perdure et fait des millions d’adeptes.
Au fil des siècles, Kongo Gumi a construit des centaines de temples et bâtiments bouddhistes, y compris le château d’Osaka, édifié en 1583 de notre ère, qui a joué un rôle majeur dans l’unification du Japon au cours de la période Azuchi-Momoyama du XVIe siècle.
Lors de la Seconde Guerre mondiale, la construction des temples ne constitua pas une priorité, de sorte que l’entreprise s’est adaptée à la situation en utilisant ses ressources et ses compétences en menuiserie pour fabriquer des milliers de cercueils qui faisaient l’objet d’une forte demande à cette période sombre de l’histoire.
Après la guerre, il a fallu reconstituer les sanctuaires et les temples qui avaient été détruits, cependant Kongo Gumi constata que les constructions en bois n’étaient pas les plus résistantes aux tremblements de terre, aux incendies et aux dégâts dus à la guerre, de sorte que l’entreprise évolua en développant de nouvelles méthodes de construction en béton.
Malgré sa riche histoire et sa flexibilité aux aléas divers, l’entreprise Kongo Gumi qui avait beaucoup emprunté pour investir dans l’immobilier, ne put faire face à ses dettes lors la crise économique du Japon en 2006 et la société de 1429 ans fut liquidée avant d’être absorbée en 2008 par l’entreprise Takamatsu Ltd.
Aimant humain qui semble posséder des pouvoirs magnétiques.
crédit image Reuter. Voir d’autres images sur dailymail.co.uk
Sur cette photo, on trouve Muhibija Buljubasic surnommé Mr Magnet, un homme de 56 ans qui affirme dégager une « énergie spéciale » grâce à laquelle de nombreux objets métalliques du quotidien sont en mesure de tenir sur son visage et le corps.
De nombreux scientifiques affirment que la capacité des personnes en mesure de coller des objets sur leur corps, non seulement en métal, mais aussi constitués d’autres matériaux (verre, bois, plastique, porcelaine, etc.), n’a rien à voir avec le magnétisme, l’un d’entre eux du nom de Benjamin Radford, a vérifié au moyen d’une boussole le champ magnétique d’une personne qui prétendait être un aimant humain et a prouvé qu’il ne produisait rien de particulier, aucun champ magnétique, ni même un surcroît de ce que le corps produit naturellement, en réalité ce pouvoir en apparence extraordinaire mais qui est un faux-semblant, s’explique tout simplement par une peau anormalement collante.
Sculpture de cheval recouverte de touches de clavier d’ordinateur.
crédit images babiscloud.de
Une grande sculpture de cheval faite de touches d’ordinateur par Babis Cloud, intitulée « Hédonisme & Trojan » qui fait référence à la mythologie du cheval de Troie construit par les Grecs et offert en cadeau à la ville de Troie pour y introduire des soldats cachés à l’intérieur de la sculpture, et par ricochet au virus du même nom qui s’introduit en catimini dans les ordinateurs.
La taille minuscule d’Émilie Marie Bouchau.
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Fin XIXème siècle, la mode était au corset qui comprimait la taille des femmes. Originaire d’Algérie où elle est née en 1874, Émilie Marie Bouchau était une chanteuse et actrice française surnommée « Polaire » réputée pour son incroyable taille de guêpe de 40 centimètres environ.
Utilisation du corps comme un instrument de musique rythmique.
Pour finir sur une note légère, cette performance surprenante filmée en Caroline du Nord en 1990, dans laquelle un personne dénommée Samuel Hicks pratique des claquements de mains sur son corps avec des mouvements de plus en plus rapides parfaitement coordonnés qui produisent des rythmes au tempo fulgurant, le tout exécuté avec le sourire.
