Le puits de la mort ; Une dent agrandie 27 millions de fois ; Formes humaines constituées d’habitats japonais


infos insolites et anecdotes étonnantes
 

Pilotes de motos et d’autos dans le puits de la mort.

 

 
– Un documentaire sur le nouveau clip du groupe de rock britannique Django Django, centré sur les pilotes de la mort qui risquent leur vie tous les jours dans les foires en conduisant des voitures ou des motos à l’intérieur d’une structure cylindrique temporaire d’environ 8 mètres de haut et 10 mètres de diamètre. Les véhicules sont maintenus en l’air, plaqués contre la paroi par la force centrifuge et il y a très peu de place pour l’erreur, ce « puits de la mort » est extrêmement risqué pour les protagonistes mais aussi pour les spectateurs néanmoins ces démonstrations attirent beaucoup de monde comme en témoigne cette vidéo réalisée par Jim Demuth, sur une idée originale de Vincent Neff.
 

 
– Pilotes dans « le puits de la mort » vers 1929 aux Etats-Unis.
Avec l’amélioration rapide au début du XXème siècle des véhicules motorisés, notamment la vitesse et l’étanchéité des moteurs, les courses sont passées des pistes en terre aux « motordromes » des années 1910 à de grandes pistes de planche en bois avec des virages relevés à 70/80 degrés où les pilotes ont pu expérimenter la force centrifuge et entrevoir la possibilité de rouler sur des parois totalement verticales avec suffisamment de vitesse.
 
Pilotes de la mort dans le puits de la mort
crédit image DR.
 
– Performance réalisée lors d’une foire aux Etats-Unis en 2009.
 
Pilotes de la mort dans le puits de la mort
crédit image Seadave / Wikimedia
 

– Véhicules circulant à grande vitesse sur les parois du « Well Of Death » accompagnés de figures acrobatiques à haut risque effectuées par leurs occupants.
 

 
– Hobo Billy, pilote d’American Motor Drome Co., sur une Harley dans le « Mur de la mort », sorte de gros baril de 9 mètres de diamètre et 5 mètres de hauteur, au Bike Time 2016 dans le Michigan.
 

 

 

Dessins de formes humaines constituées d’habitats traditionnels japonais.

 
Dessin de formes humaines constituées d'habitats traditionnels japonais
 
Après avoir été diplômé de l’Ecole d’Art de Tasmanie en 2002, Sean Edward Whelan a quitté l’Australie pour découvrir les mystères du Japon et s’installer à Joetsu, Niigata où il a commencé à travailler comme professeur d’anglais avant de s’établir comme illustrateur et artiste. Ses beaux et curieux dessins au crayon témoignent de sa passion pour son pays d’adoption, ils se composent d’un agencement complexe de bâtiments traditionnels japonais, de ponts et de lanternes, comme autant d’entités de vie reliées entre elles et qui forment des silhouettes humaines.
 
Dessin de formes humaines constituées d'habitats traditionnels japonais
 
Dessin de formes humaines constituées d'habitats traditionnels japonais
 
Dessin de formes humaines constituées d'habitats traditionnels japonais
 
Dessin de formes humaines constituées d'habitats traditionnels japonais
 
Dessin de formes humaines constituées d'habitats traditionnels japonais
 
Dessin de formes humaines constituées d'habitats traditionnels japonais
 
Dessin de formes humaines constituées d'habitats traditionnels japonais
 
Dessin de formes humaines constituées d'habitats traditionnels japonais
 
Dessin de formes humaines constituées d'habitats traditionnels japonais
crédit images sean-edward.com.au
 

 

Dans le secret d’une dent agrandie 27 millions de fois.

 
Zoom progressif sur une dent de sagesse avec un microscope qui l’agrandit 27 millions de fois pour observer ses détails les plus infimes.