Images surréalistes sans Photoshop ; Paréidolie avec des visages ; Horloges mécaniques avec automates


infos insolites et anecdotes étonnantes
 

Images surréalistes réalisées sans Photoshop.

 
Image surréaliste réalisée sans Photoshop
 
Jee Young Lee est une artiste coréenne qui crée de superbes scènes surréalistes, poétiques, étranges et rêveuses dans son petit studio à Séoul dans lequel elle laisse libre cours à sa créativité, sans utiliser Photoshop ou tout autre programme digital pour élaborer ses photos, de sorte que chaque image d’une grande complexité pastique et nécessitant une imagination et une patience peu communes, un souci du détail et de la perfection, peut prendre des semaines voire même des mois à être composée. Ses photos ont été exposées pour la première fois en France à l’Opiom Gallery près de Cannes.
 
Image surréaliste réalisée sans Photoshop
 
Image surréaliste réalisée sans Photoshop
 
Image surréaliste réalisée sans Photoshop
 
Image surréaliste réalisée sans Photoshop
 
Image surréaliste réalisée sans Photoshop
 
Image surréaliste réalisée sans Photoshop
 
Image surréaliste réalisée sans Photoshop
 
Image surréaliste réalisée sans Photoshop
 
Image surréaliste réalisée sans Photoshop
 
Image surréaliste réalisée sans Photoshop
 
Image surréaliste réalisée sans Photoshop
 
Image surréaliste réalisée sans Photoshop
 
Image surréaliste réalisée sans Photoshop
 
Image surréaliste réalisée sans Photoshop
 
Image surréaliste réalisée sans Photoshop
 
Image surréaliste réalisée sans Photoshop
crédit images Jee Young Lee | Opiom Gallery
 

 

Paréidolie avec des visages qui apparaissent sur des objets du quotidien.

 
Paréidolie avec des visages qui apparaissent sur des objets du quotidien
crédit image thelablib.org
 
En observant attentivement les objets du quotidien, il arrive parfois qu’ils donnent l’impression de vous regarder d’un air sévère, narquois, triste ou amusé : ce qui relève de l’acuité visuelle est également attribué à un phénomène psychologique appelé paréidolie (cf. notice wikipédia), phénomène assez fréquent qui consiste à trouver des images familières inexistantes dans la réalité (visages, animaux, lettres) dans la forme d’objets et de motifs aléatoires, de la sorte une personne perçoit le stimulus visuel aléatoire d’une forme par l’intermédiaire d’une autre forme, par exemple lorsqu’on voit des visages sur des nuages ​​ou des bâtiments. Cette série est consacrée à l’apparition de visages plus ou moins stylisés et abstraits.
 
Paréidolie avec des visages qui apparaissent sur des objets du quotidien
 
Paréidolie avec des visages qui apparaissent sur des objets du quotidien
 
Paréidolie avec des visages qui apparaissent sur des objets du quotidien
 
Paréidolie avec des visages qui apparaissent sur des objets du quotidien
 
Paréidolie avec des visages qui apparaissent sur des objets du quotidien
 
Paréidolie avec des visages qui apparaissent sur des objets du quotidien
 
Paréidolie avec des visages qui apparaissent sur des objets du quotidien
 
Paréidolie avec des visages qui apparaissent sur des objets du quotidien
 
Paréidolie avec des visages qui apparaissent sur des objets du quotidien
 
Paréidolie avec des visages qui apparaissent sur des objets du quotidien
 
Paréidolie avec des visages qui apparaissent sur des objets du quotidien
 
Paréidolie avec des visages qui apparaissent sur des objets du quotidien
 
Paréidolie avec des visages qui apparaissent sur des objets du quotidien
 
Paréidolie avec des visages qui apparaissent sur des objets du quotidien
 
Paréidolie avec des visages qui apparaissent sur des objets du quotidien
 
Paréidolie avec des visages qui apparaissent sur des objets du quotidien
 

 

Horloges mécaniques avec automates à Saint-Pétersbourg et à Paris.

 
horloges mécaniques avec automates
 
Peacock Clock, horloge-automate du 18ème siècle au Musée de l’Ermitage à Saint-Pétersbourg en Russie.
 
Peacock clock horloge du paon, musée de l'Ermitage
crédit image Antonio Zugaldia / Wikimedia
 
The Peacock Clock est une horloge comportant trois oiseaux chanteurs mécaniques de grande taille – une chouette, un paon et un coq -, elle fut commandée au constructeur anglais d’automates James Cox en 1777 puis livrée en 1797 au Prince russe Grigori Potemkine.
Le cycle d’animation de cette horloge dont le cadran est caché dans un champignon, est censé représenter la fin de la nuit et la montée du soleil, suggérant ainsi la perpétuation de la vie. Le hibou tourne la tête après le son d’un carillon, ensuite le paon tourne gracieusement son cou et élève sa queue lentement avant de se retourner rapidement pour montrer son fan de plumes dorées puis l’animation, bel exemple de la robotique du 18ème siècle, se termine par le chant d’un coq.
 

 

 

 
 
Horloge mécanique « Défenseur du Temps » dans une rue du 3ème arrondissement de Paris.
 
Horloge mécanique Défenseur du Temps
crédit image q.mitchell / Flickr
 
L’horloge en laiton de quatre mètres de hauteur et pesant une tonne, dénommée « Défenseur du Temps », fut conçue par Jacques Monestier artiste « sculpteur d’automates », et se trouve depuis 1979 dans le quartier de l’horloge à Paris (8 rue Bernard-de-Clairvaux, 3è arrondissement) auquel elle a donné le nom.
À chaque heure, après les trois coups de l’horloge, une animation d’automates est déclenchée devant le cadran, qui montre un homme en tenue de combat et positionné sur un rocher combattant contre l’un des trois symboles choisi de manière aléatoire par un programme : celui de la terre, du ciel et de l’eau incarnés par un dragon, un oiseau et un crabe. A certaines heures, il lutte contre les trois éléments en même temps. Chaque chorégraphie est accompagnée d’un bruit de fond : souffle du vent, grondement de la terre ou fracas des vagues.