Numéro de jonglage de Strahlemann & Sohne ; Systèmes acoustiques étranges ; Vibrations de cordes ; Peintures lumineuses en action ; 143.89 km/h en skateboard

 

Numéro de jonglage de Strahlemann & Sohne.

 
Où il est question d’échanger des quilles et de changer de vêtements, en même temps.
 

 

 

Systèmes d’écoutes militaires de détection d’aéronef des années 1920-1940.

 
– Système d’écoutes tchèque des années 1920, les réflecteurs de vibrations dirigent le son vers des tubes de grand diamètre.
 

 
Ces systèmes acoustiques d’apparence étrange furent utilisés de 1917 à 1940 pour la détection de Zeppelins et d’avions en captant le bruit et les vibrations générées par leurs moteurs, les immense écouteurs en forme de cornet ou de parabole servaient d’amplificateurs lors de la réception de ces signaux tout en augmentant la capacité à localiser la direction du son.
 
Cette technologie qui a évolué au fil des années faisait parti de l’arsenal anti-aérien mais elle a été rendue obsolète lors de la Seconde Guerre mondiale par l’apparition et la mise en service du radar, beaucoup plus efficace.
 
– Système d’amplification acoustique utilisé par la U.S. Naval Air Service des États-Unis pour localiser les avions de jour comme de nuit en 1921.
 

 
– Appareil allemand de 1917 de localisation acoustique combiné à un système optique.
Lors de la 1ère Guerre mondiale, ce système permettait de localiser la position des canons des Alliés grâce à leurs déflagrations et à la lueur des tirs.
 

 
– Détecteur de sons personnel néerlandais des années 1930 avec deux sections paraboliques vraisemblablement faites d’aluminium pour la légèreté.
 

 
– Système néerlandais des années 1930 d’une conception plus efficace que celle présentée ci-dessus avec un gain de sensibilité aux vibrations grâce à une plus grande surface des écouteurs.
 

 
– Machine conçue par le lauréat français du prix Nobel Jean-Baptiste Perrin. Chacun des quatre ensembles porte 36 petits « cornets » acoustiques hexagonaux disposées en six groupes de six. Il est probable que cette conception visait à augmenter le gain de sensibilité et la capacité à saisir la direction du son de cet appareil.
 

 
– Détecteur acoustique allemand, cet appareil développé en 1915 semble avoir eu du succès car des licences qui autorisaient leur production furent négociées par les fabricants jusqu’en 1934.
 

 
– Photographie d’avant la seconde guerre mondiale de l’empereur japonais Hirohito inspectant des détecteurs acoustiques militaires montés sur automobiles.
 

crédit image Wikimedia
 
– Des soldats japonais font la démonstration d’un « tuba de guerre » en 1932.
 

 
– Système en exploitation dans un aérodrome du sud de l’Angleterre dans les années 1930.
 

 
– Un système à quatre canaux en Angleterre en 1930 avec deux opérateurs disposant de stéthoscopes reliés à des écouteurs.
 

 
– Équipement de détection sonore allemand en 1939, composé de quatre cornets acoustiques, une paire horizontale et une paire verticale, reliées par des tubes en caoutchouc aux stéthoscopes utilisés par deux techniciens, ces écouteurs stéréo permettaient aux techniciens de déterminer la direction et l’altitude de l’avion.
 

crédit image Bundesarchiv, Bild / Wikimedia
 
… (suite de l’image ci-dessus) Ce système acoustique pouvait détecter des cibles à des distances de 5 à 12 km, selon les conditions météorologiques, les compétences de l’opérateur et la taille de l’appareil ciblé.
 

 
– Des soldats suédois utilisant un détecteur acoustique en 1940.
 

crédit image Carl Gunnar Rosborn / Wikimedia
 
autres crédits images museumwaalsdorp.nl | Hulton Archive | Buyenlarge | douglas-self.com
 

 

Les vibrations surprenantes des cordes d’une contrebasse.

 
Cette brève séquence montre ce qui arrive quand la caméra est synchronisée avec la fréquence de vibration des cordes d’une contrebasse, avec l’impression que le musicien joue au ralenti, ce qui n’est pas le cas.
 

 

 

Peintures de lumière en action.

 
Vidéo d’Anssi Määttä dans laquelle des formes lumineuses apparaissent comme par magie et sont créées au moyen d’une caméra et de quelques lumières.
 

 
 

 

143.89 km/h en skateboard.

 
En août 2016, sur une route des Etats-Unis tenue secrète par son sponsor, Kyle Wester a atteint la vitesse folle de 143.89 km/h sur un skateboard.