Londres en 1927 et 2013 ; Paysages urbains du jour à la nuit ; Toit d’un immeuble résidentiel à Pékin
Londres en 1927 et 2013.
À partir de vues cinématographiques de Londres prises en 1927 par Claude Friese-Greene, photographe qui a parcouru l’Angleterre avec une caméra couleur, une version moderne fut entreprise en suivant les mêmes lieux et en respectant le cadrage originel, puis les deux films ont été disposés en vis à vis sur la même image reflétant de manière spectaculaire les changement qui se sont opérés dans la ville.
Paysages urbains qui passent du jour à la nuit dans la même image.
Millenium Park, Chicago
Dans cette série d’images, le but du photographe Stephen Wilkes est de condenser un journée entière dans un lieu précis sur une seule et même image, son choix de lieu porte sur des emplacements familiers connus de tous dont il photographie le passage du jour à la nuit et assemble l’ensemble des images obtenues en une seule représentation, un panorama qui inclut le passage du temps du jour à la nuit dans son déroulé et l’infinie variété des activités humaines qui y ont lieu durant ce laps de temps dépassant ainsi les limites de l’image photo sensée ne capter et fixer qu’un seul instant.
Tour Eiffel
Pont de la Tournelle, Paris
Trafalgar Square, Londres
Coney Island
Jour d’investiture, Washington
Wrigley Field, Chicago
America’s Cup à San Francisco
Shangaï, Chine
Place Saint-Pierre, Vatican
Central Park en hivers, New York
Central Park vu de l’Essex House, New York
Washington square, New York
Park Avenue, New York
Flatiron building, New York
Bibliothèque de New York
Mur des Lamentations, Israël
Grand Canal, Venise
crédit images Stephen Wilkes ~ stephenwilkes.com
– New York diurne et nocturne.
Vidéo en time-lapse de scènes filmées aux mêmes endroits de New York de jour et de nuit sur une période de 4 à 8 heures et combinées en séquences uniques à la fois diurnes et nocturnes en utilisant des techniques de rotoscopie pour un effet d’étrangeté urbaine surréelle.
Une montagne au sommet d’un immeuble résidentiel à Pékin.
Un médecin un brin excentrique a édifié une montagne sur le toit juste au-dessus de son appartement situé au dernier étage d’un bâtiment résidentiel de 26 étages à Pékin, sans demander la permission aux résidents de l’immeuble, ni aux autorités locales. L’énorme édifice couvre l’ensemble du toit de 1000 mètres carrés et a été construit avec des pierres artificielles mais il possède de vrais arbres et de l’herbe naturelle.
Il aura fallu six années pour que les plaintes des voisins qui ont souffert du bruit et des vibrations, de fuites d’eau et autres perturbations dus aux travaux, soient prises en compte par les autorités, celles-ci ont donné un délais de quinze jours à l’homme pour qu’il démonte sa montagne artificiel sous peine qu’elle soit déplacée de force.