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Pochettes de disque sur des lieux réels à New-York ; Ancienne mine de sel reconvertie en parc d’attraction en Roumanie ; L’île fantôme d’Hashima


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Juxtaposition de pochettes de disque sur les lieux réels à New-York.

 
Ramones – Rocket to Russia (1977) – Bowery & Second Avenue.
 
Juxtaposition d'une pochette de disque sur son lieu réel à New-York
 
Bob Egan est un détective d’un nouveau genre, il traque les emplacements d’origine qui ont servi de cadre aux images de couvertures d’albums célèbres en l’occurrence plutôt anciens (années 60′), qu’il photographie en respectant les angles de vue, certains lieux, exclusivement à New-York dans cette série, ont beaucoup changé d’autres sont restés dans leur apparence d’époque, puis il juxtapose en une sorte de fondu transparent les images des pochettes sur celles prises sur les lieux réels à notre époque actuelle. Un jeu passionnant pour un résultat captivant.
 
Billy Joel – 52nd Street.
 
Juxtaposition d'une pochette de disque sur son lieu réel à New-York
 
Billy Joel – An Innocent Man – 142 Mercer Street.
 
Juxtaposition d'une pochette de disque sur son lieu réel à New-York
 
The Doors – Strange Days (1967) – Sniffen Court.
 
Juxtaposition d'une pochette de disque sur son lieu réel à New-York
 
The Rolling Stones – Have You Seen Your Mother, Baby, Standing in the Shadow (1966) – 124 East 24th.
 
Juxtaposition d'une pochette de disque sur son lieu réel à New-York
 
Van Morrison – Too Long in Exile (1993) – 246 Pearl Street.
 
Juxtaposition d'une pochette de disque sur son lieu réel à New-York
 
Led Zeppelin – Phyical Grafitti (1975) – 96 and 98 St. Mark’s Place.
 
Juxtaposition d'une pochette de disque sur son lieu réel à New-York
 
Cyndi Lauper – A Night to Remember (1989) – Plymouth Street at Pearl, Brooklyn.
 
Juxtaposition d'une pochette de disque sur son lieu réel à New-York
 
The Beastie Boys – Paul’s Boutique (1989) – Ludlow & Rivington Street.
 
Juxtaposition d'une pochette de disque sur son lieu réel à New-York
 
Bob Dylan – Highway 61 Revisited (1965).
 
Juxtaposition d'une pochette de disque sur son lieu réel à New-York
 
B.O. West Side Story (1961).
 
Juxtaposition d'une pochette de disque sur son lieu réel à New-York
 
Bob Dylan – The Freewheelin’ (1963).
 
Juxtaposition d'une pochette de disque sur son lieu réel à New-York
 
Simon & Garfunkel – Wednesday Morning, 3 A.M. (1964).
 
Juxtaposition d'une pochette de disque sur son lieu réel à New-York
 
The New York Dolls – The New York Dolls (1973).
 
Juxtaposition d'une pochette de disque sur son lieu réel à New-York
 
Kiss – Dressed to Kill (1975).
 
Juxtaposition d'une pochette de disque sur son lieu réel à New-York
 
The Velvet Underground – Live at Max’s Kansas City (1972)
 
Juxtaposition d'une pochette de disque sur son lieu réel à New-York
crédit images Bob Egan ~ popspotsnyc.com
 

 

Une ancienne mine de sel en Roumanie reconvertie en parc d’attraction.

 
mine de sel Salina Turda reconvertie en attraction touristique
 
Salina Turda fut jadis une importante mine de sel en Roumanie (cf. google map), rénovée et aménagée par le conseil régional du comté de Cluj pour la transformer en centre d’halothérapie où se pratique la thérapie par le sel, et en parc d’attraction historique qui attire, avec une fréquentation constante, de nombreux touristes venus découvrir ses incroyables puits verticaux excavés au 17ème siècle dont le fond est recouvert d’une couche de sel comme s’il s’agissait de sable et où l’on peut trouver une série d’attractions récréatives telles qu’un amphithéâtre, une arène sportive, une grande roue, un mini-golf et des pistes de bowling, sans oublier des bateaux proposés à la location pour se promener sur le lac souterrain. Les visiteurs peuvent ainsi découvrir différents aspects de ces mines impressionnantes comme les motifs complexes formés sur les couches de roches sur de très longues périodes.
 
Cet endroit à mi-chemin entre parc d’attraction et musée, comprend en fait trois mines : la mine de Terezia qui atteint une profondeur de 120 mètres, la mine d’Anton à 108 mètres et la mine de Rudolf à 42 mètres, agrémentées de différentes salles plus petites. Doté d’une température stable de 11-12 degrés celsius et 80 pour cent d’humidité dans un environnement dénué de tout allergènes et une quasi absence de bactéries, ce lieu dispose d’un micro-climat unique approprié aux personnes qui souffrent de maladies respiratoires allergiques.
 
mine de sel Salina Turda reconvertie en attraction touristique
crédit images nexttriptourism
 

 

 

 

L’île fantôme d’Hashima au Japon.

 
– Vue aérienne d’Hashima en 2010.
 
Hashima, île au Japon
crédit image kntrty / Wikimedia
 
Hashima, également connu sous le nom de Gunkanjima (« île cuirassé », ainsi nommée en raison de sa silhouette en forme de navire), est une île au large des côtes de Nagasaki au sud-ouest du Japon (cf. google map). En 1887 un gisement houiller fut découvert sur cette île inhabitée, exploité par l’entreprise Mitsubishi qui a construit des infrastructures afin d’accueillir les mineurs et leurs familles, logements, écoles, commerces, hôpital, bureaux de la mine, etc. À son apogée, plus de 5000 mineurs vivaient avec leurs familles sur cette île qui mesure un peu plus d’un kilomètre de long et 500 mètres de large, c’était l’endroit le plus densément peuplé du monde.
 
Les mineurs travaillaient à des profondeurs allant jusqu’à 660 mètres. Lorsque la mine a fermé au début des années 1970 à cause de la baisse de son activité, toute l’île a été abandonnée, laissant les infrastructures minières et les bâtiments se délabrer, dégradation accentuée par les typhons qui passent dans cette régions. Cette île étrange et fantomatique apparaît dans de nombreux documentaires et films : Skyfall (23ème James Bond), Inception de Christoper Nolan, etc. Des visites touristiques y sont organisées à partir de la ville de Nagasaki, et il est aussi possible de se promener virtuellement dans ses ruines avec Google street view.
 
– Vue de bâtiments délabrés en 2012.
 
Hashima, île au Japon
crédit image Jordy Meow / Wikimedia