Carte-citation #102

 

 
Quand la vie vous a une fois traité de façon bien rapace, et vous a pris tout ce qu’elle pouvait d’honneurs, de joies, d’adeptes, de santé, de biens de toute sorte, on découvrira peut-être à la suite, après la première frayeur, que l’on est plus riche qu’auparavant. Car alors seulement on sait ce qui vous appartient si bien en propre qu’aucune main de brigand n’est plus capable d’y toucher; et ainsi l’on sortira peut-être de tant de saccage et de bouleversement avec la distinction d’un grand propriétaire foncier.
Friedrich Nietzsche (© Eky Chan – Fotolia)
 

Carte-citation #69

 

 
Tout dans la vie est affaire de choix, finalement, ça commence par la tétine ou le téton, ça se termine par le chêne ou le sapin…
Pierre Desproges (© VRD – Fotolia)
 

Carte-citation #60

 

 
La vie laisse affreusement à désirer en matière de forme. Ses comédies sont empreintes d’une horreur grotesque, et ses tragédies paraissent avoir la farce pour apogée.
Oscar Wilde (© Christophe Boisson – Fotolia)
 

Carte-citation #43

 

 
Cette vie est un hôpital où chaque malade est possédé du désir de changer de lit.
Charles Baudelaire (© Complot – Fotolia)
 

Carte-citation #37

 

 
Quand tu es né, tu pleurais et tout le monde souriait autour de toi.
Tâche, quand tu vas mourir, de sourire et que tout le monde pleure.
Proverbe arabe (© Azat1976 – Fotolia)
 

Carte-citation #36

 

 
S’il fallait tolérer aux autres tout ce qu’on se permet à soi-même, la vie ne serait plus tenable.
Georges Courteline (© sahua d – Fotolia)
 

Carte-citation #26

 

 
Il ne faut pas lier un navire à une seule ancre, ni une vie à un seul espoir.
Epictète (© snowflake_design – Fotolia)
 

Carte-citation #17

 

 
Nous avons besoin d’ordre pour vivre et d’un peu de désordre pour survivre.
Albert Camus (© greenbelka – Fotolia)
 

Carte-citation #12

 

 
La paresse est nécessaire. Il faut la mêler à sa vie pour prendre conscience de sa vie.
Jacques Chardonne (© Callahan – Fotolia)
 

Carte-citation #11

 

 
J’éprouve l’émotion la plus forte devant le mystère de la vie. Ce sentiment fonde le beau et le vrai, suscite l’art et la science. Si quelqu’un ne connait pas cette sensation ou ne peut plus ressentir étonnement ou surprise, il est un mort vivant et ses yeux sont désormais aveugles.
Albert Einstein (© lynea – Fotolia)